Essayer, échouer, travailler, apprendre.
Savoir abandonner revient à savoir admettre un échec. On le sait tous, l’échec en France est mal perçu (même si cela tend à s’améliorer, la deuxième chance n’a pas la connotation quasi héroïque qu’elle aux États-Unis). Et pourtant… l’échec est la meilleure façon d’apprendre. Lorsque l’on réussi, il est difficile d’analyser les facteurs du succès. Souvent, il est plus facile de contempler sa réussite que de chercher à comprendre ses raisons. Au contraire, l’échec est un bon moyen de se remettre en question, se demander « Pourquoi ? ».
L’abandon n’est pas facile, mais il est une source d’apprentissage infinie. La persévérance est une vertu, mais pas l’entêtement. Il faut donc être capable de se remettre en question lorsque ce que l’on entreprend ne fonctionne pas et savoir tourner la page si l’on a aucun plan pour redresser la barre.
Même si l’on sait que tout ce que l’on fait n’est pas bon. Il faut s’accrocher, travailler pour multiplier les chances d’obtenir un résultat remarquable. Bien sûr, il faut rester méthodique, apprendre de ses échecs et surtout travailler pour se perfectionner et pas simplement dans l’idée de multiplier les tentatives.
Vous avez tout à fait raison !